Les vélos électriques pourraient emporter l’adhésion des urbains soucieux de ne pas reprendre des transports en commun surchargés à l’issue du confinement.
Même s’il est interdit d’en pratiquer actuellement à des fins exclusives d’activité physique, le vélo pourrait s’imposer comme l’un des moyens de transports privilégiés par les urbains pour l’après-confinement. Durant le dernier mouvement de grève de décembre-janvier, combien de travailleurs ont-ils enfourché leur bicyclette pour rejoindre leur bureau, faute de métro ou de train ?
Signe des temps, la mairie de Paris n’a pas caché son intention de transformer, à titre temporaire, certains boulevards en pistes cyclables temporaires – même si cette solution ne résous pas la question des longues distances, de la logistique ou des mouvements pendulaires de banlieue à banlieue.
Les fabricants et vendeurs de velos electriques pourraient enfin tirer leur épingle du jeu, espèrent-ils. Pour nombre de personnes, il n’est pas question, lors de la reprise, de se confronter à des transports surchargés ou aux joies de la ligne 13 du métro parisien, par exemple. De surcroît, le manque d’activité physique se sera fait sentir après deux mois de confinement, marqués par une fermeture des infrastructures.
Le bon moment pour faire son choix
quel velo electrique me convient
Dès lors, quel modèle leur sied, les néo-cyclistes ou celles et ceux qui éprouveraient le désir de s’y remettre. Des entreprises telles que Bikelec France en proposent de multiples. Fat bikes, vélos de ville, vélos pliables… L’objectif est de trouver le modèle qui vous convient en fonction de l’usage que vous en ferez, ainsi que de l’encombrement souhaité – vous ne pourrez pas forcément transformer le hall d’accueil de votre entreprise en garage à vélos.
Il vous reste quelques semaines pour vous préparer… avant que tout roule de nouveau ou presque !
Plus d’infos: https://Bikelec.fr/