ÉconomieEntreprisesServices

Cette start-up veut vous aider à interrompre vos prélèvements automatiques

1 min de lecture

Créée en 2015, la start-up belge Sepastop compte aider les internautes à interrompre leurs prélèvements automatiques (télécoms, énergie, assurances…) Aurélie Desprez, chargée de partenariats, répond aux questions de Business & Marchés.

Quel constat vous a incité à créer Sepastop?

L’idée m’est venue lors d’un déménagement à l’étranger, quand j’ai passé je ne sais combien d’heures sur le net à réunir toutes les infos dont j’avais besoin pour résilier mes nombreux abonnements. C’est à ce moment-là que je me suis dit qu’une plateforme centrale permettant de résilier n’importe quel contrat serait des plus pratiques.

Comment mettez-vous en relation les internautes et les différents services?

Nous ne mettons pas directement en relation les internautes avec les services tiers : nous leur fournissons un modèle de lettre pré-rempli avec les informations nécessaires, qu’ils peuvent ensuite imprimer et envoyer au fournisseur à résilier. Nous pouvons aussi nous charger nous-mêmes de l’envoi, pour ceux qui préfèrent éviter l’attente au bureau de poste. Nous obtenons les informations nécessaires directement sur le site des entreprises, ou en prenant contact auprès d’elles si besoin est. Nous ajoutons de nouveaux fournisseurs dans notre base de données au fur et à mesure de la croissance de Sepastop, l’objectif étant de proposer une plateforme aussi exhaustive que possible. Nos utilisateurs ont également la possibilité de demander l’ajout d’une entreprise spécifique, ce qui est généralement fait en 48 heures maximum.

Quel est votre modèle économique, et quels sont vos objectifs de développement?

Notre modèle économique est basé sur la facturation d’un supplément sur les frais de port d’une lettre recommandée. Nous ne nous rémunérons pas via la publicité. En termes d’objectifs: nous souhaitons avant tout poursuivre notre croissance sur nos marchés les plus récents (France et Allemagne), mais aussi explorer de nouveaux pays ayant des caractéristiques similaires pour y lancer notre service.

A lire également
ÉconomieEntreprisesServices

Pour l’équipe des restaurants Mamé Kitchen, “être flexitarien, c’est s’éclater à découvrir de nouvelles saveurs rythmées par les saisons”

Créée en 2018, l’enseigne Mamé Kitchen compte cinq restaurants, conçus pour la vente à emporter, autour d’une offre de street food flexitarienne. Elle compte accélérer son développement.
EntreprisesEnvironnement-SantéIndustrie

5 start-up spécialisées dans les produits végétaux et vegans pour la boulangerie, la pâtisserie et le snacking

Dans les boulangeries, le snacking ne cesse de gagner du terrain. Focus sur 5 start-up qui développent des produits spécifiques (aquafaba, farine,…
ÉconomieEntreprisesServices

“Climbing District compte faire monter en gamme les salles d'escalade”

A l’occasion d’une levée de fonds de 10 millions d’euros, les fondateurs de Climbing District, Henri d’Anterroches et Antoine Paulhac, nous présentent les spécificités de leur concept de salles d’escalade en milieu urbain.

Recevez nos prochains articles par e-mail

Abonnez-vous à notre newsletter